On arrive en ville, il fait chaud et lourd, le temps de mettre la clim à fond dans la modeste chambre et nous voilà partis explorer les alentours de nuit. La ville, découpée en rues perpendiculaires, nous conduit le long du fleuve, avec ses mottes de terre flottantes et ses quais animés.
Le jour 1, le vrai. Je ne suis pas une adepte des grandes métropoles alors on décide de marcher en se laissant porter par la ville sans planifier de visite. On prend à droite et on tombe sur un petit marché local : au milieu de poissons, fruits, enfants qui prennent leur bain (???), légumes et viandes séchée, l’odeur ne nous échappe pas. Le pire, c’est le durian : odeur indescriptible, il faut le sentir pour le comprendre. C’est fort, très fort mais c’est local, alors nous continuons de nous y enfoncer.